Les maisons brûlées à Détroit sont nombreuses. Certains quartiers semblent même avoir été bombardés tant il y a de carcasses noircies. Les constructions – souvent en bois – brûlent très facilement, celles en brique moins, mais le résultat est finalement le même. On accuse donc dans l’ordre : le jeune, le propriétaire, le squatter et le voisin.
À Detroit comme ailleurs, le jeune est un problème. On le sait. Par nature, il est paresseux, mal élevé et dangereux. De plus, il joue à des jeux idiots et méchants et met ainsi le feu aux maisons. Parce que ça l’amuse ! Plus…