C’était jeudi 21 octobre :
Mot-clef : Mouvement social
Ça commence…
Écrit par – 15/10/2010
… par du bruit devant l’immeuble de l’Union pour les entreprises des Bouches-du-Rhône (UPE13), ça se poursuit par le blocage du Vieux-Port, ça continue par une manif vers la mairie, ça se prolonge en rassemblement festif, ça repart avec l’arrivée des marins en canot, drapeau noir et fumigènes rouges, ça chauffe, ça chauffe, mais pas encore assez pour que ça s’embrase, et ça reconduit…
Coup de jeunes pour les retraites
Écrit par – 15/10/2010
Un cortège bruyant et joyeux descend la Canebière. pas besoin de camion sono pour faire du bruit. Après les blocus du matin, les AG et les chahuts, ils sont une petite centaine à finir la journée par un salut strident (comme un cri de jeune fille en fleur) à Monsieur le maire : « Sarko, Gaudin, vous êtes foutus, les jeunes sont dans la rue ! ».
Silence, on tourne !
Écrit par – 21/09/2010
Initiés par les frères franciscains de Toulouse en 2007, les cercles de silence se multiplient partout en France. On en recense aujourd’hui une centaine, composés de citoyens de tous horizons (chrétiens, athées, militants associatifs, etc.) rassemblés pour dénoncer la situation des sans-papiers. Le « Cercle » de Marseille se réunit tous les 3ème jeudi du mois, de 17h30 à 18h30 à l’angle Cours St Louis / Canebière.
Jeudi dernier – 16 septembre, on se réunissait pour dire non au projet de loi d’Eric Besson pour modifier le CESEDA (code sur l’entrée et le séjour des étrangers, et le droit d’asile) :
« Pour la cinquième fois en sept ans, le gouvernement modifie la législation relative à l’immigration. Ce nouveau projet de loi, qui doit être voté fin septembre, est présenté comme un simple ajout de mesures techniques visant à rendre plus efficace le dispositif d’éloignement des étrangers en situation irrégulière… » Plus…
Combien ?
Écrit par – 14/09/2010
À Marseille, les batailles de chiffres sont une tradition. La manif du 7 septembre pour la sauvegarde des retraites n’a pas dérogé à la règle. À chaque fois, c’est la même histoire. La différence entre le nombre de manifestants comptabilisés par la police et celui avancé par les syndicats est l’objet d’un spectaculaire grand écart.
